Les K-Pop Boyz font tomber tous les records d’audience.
Ils portent encore la mèche à la Dawson.
Ils abattent les codes de la virilité, portent haut la sensibilité masculine, saupoudrée d’excentricité bien proprette.
Ils portent des couleurs, ont les cheveux bleu, orange ou blanc.
Et ont des airs de minets trop mimi.
Ils sont imberbes, façon chats Siamois.
Ils font des chorégraphies syncro, et ça, c’est carrément canon.
Ça force le respect pour la “performance“.
L’esprit de groupe, aussi.
Qu’importe que les K Boyz tiennent du pur produit marketing, à qui on assigne une personnalité; dont certains contrats sont si salauds qu’ils poussent au suicide.
Les jeunes filles bougrement sensibles adôôôrent.
D’ailleurs, la K-pop est plus qu’un genre, c’est une communauté. Ok?
Les jeunes filles donc – pardon, les membres des #ARMY — adôrent ce sentiment d’appartenance. BINGO
Elles les soutiennent, ils les soutiennent.
C’est le succès à la Kpop, boy.